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AutoStrat International

La lettre de la filière automobile, de ses acteurs et des pays émergents

Nouvel article

L'accord signé par Hyundai Motor Group avec l'Etat américain de Géorgie en mai 2022 tombe à point nommé en ce début d'année 2025. Ce site industriel habilement marketé sous le vocable Metaplant renforce la présence du groupe coréen aux Etats-Unis. "Le site Hyundai Motor Group Metaplant America illustre non seulement les capacités de production avancées du Groupe et son engagement en matière d’innovation, mais témoigne également de notre investissement auprès de nos partenaires et communautés présents ici en Géorgie. En combinant le riche héritage de cette communauté en matière de savoir-faire artisanal et de fabrication, avec le talent de nos équipes à l’œuvre sur le site HMGMA, nous entendons bâtir l’avenir de la mobilité, main dans la main avec l’Amérique, et sur le territoire américain" a précisé Euisun Chung, président exécutif de HMG. D'ores et déjà, le 3 octobre dernier, le premier véhicule, une Hyundai Ioniq 5, est sorti de chaîne. Le grand SUV Ioniq 9 est désormais produit sur

L'accord signé par Hyundai Motor Group avec l'Etat américain de Géorgie en mai 2022 tombe à point nommé en ce début d'année 2025. Ce site industriel habilement marketé sous le vocable Metaplant renforce la présence du groupe coréen aux Etats-Unis. "Le site Hyundai Motor Group Metaplant America illustre non seulement les capacités de production avancées du Groupe et son engagement en matière d’innovation, mais témoigne également de notre investissement auprès de nos partenaires et communautés présents ici en Géorgie. En combinant le riche héritage de cette communauté en matière de savoir-faire artisanal et de fabrication, avec le talent de nos équipes à l’œuvre sur le site HMGMA, nous entendons bâtir l’avenir de la mobilité, main dans la main avec l’Amérique, et sur le territoire américain" a précisé Euisun Chung, président exécutif de HMG. D'ores et déjà, le 3 octobre dernier, le premier véhicule, une Hyundai Ioniq 5, est sorti de chaîne. Le grand SUV Ioniq 9 est désormais produit sur

Points forts

Jaguar Land Rover (JLR) va investir des millions de livres dans la production de véhicules électriques en Grande-Bretagne, un coup de pouce bienvenu et pour le gouvernement britannique et pour un secteur touché par le repli des ventes de véhicules diesel et les incertitudes autour du Brexit.

Le premier constructeur automobile britannique, qui a fabriqué 30 % des 1,5 million de véhicules produits en Grande-Bretagne l’an dernier, va construire des modèles électrifiés, notamment la future génération de sa berline de luxe XJ, dans son usine de Castle Bromwich, dans le centre de l’Angleterre. « L’avenir de la mobilité est électrique et, en tant que société britannique visionnaire, nous sommes déterminés à produire notre prochaine génération de véhicules zéro émission au Royaume-Uni » a déclaré Ralf Speth, directeur général de JLR.

Le constructeur a cependant mis en garde contre l’éventualité d’un Brexit sans accord et souligné l’importance d’un commerce sans entrave avec l’Union européenne, faisant ainsi écho aux avertissements du secteur sur le risque que font peser des barrières douanières et un excès de bureaucratie sur la production.
Pour améliorer la productivité du site, le constructeur a signé un accord avec les ouvriers de Castle Bromwich faisant passer la semaine de travail de cinq à quatre jours avec le même nombre d’heures.
Trois des quatre usines automobiles de JLR en Europe sont situées en Grande-Bretagne, ce qui lui donne peu de marges de manoeuvre ailleurs. La quatrième usine est en Slovaquie et a été inaugurée seulement l’an dernier. « Nous réalisons cet investissement car l’incertitude persistante autour du Brexit ne nous laisse pas le choix, nous avons dû prendre une décision pour nos employés et notre activité » a déclaré JLR.
En janvier, Jaguar Land Rover avait annoncé qu’il allait réduire d’environ 10 % ses effectifs, soit 4.500 postes, essentiellement en Grande-Bretagne, pour faire face au ralentissement du marché en Chine et au plongeon de la demande pour les véhicules diesel.
Bertrand Gay

Jaguar Land Rover

Pour sa nouvelle Focus RS, Ford a réuni les meilleurs ingrédients pour être digne du prestigieux badge RS.
Il s’agit de GKN pour la transmission à quatre roues motrices et répartition vectorielle de couple, de Tenneco pour son amortissement à deux lois de fonctionnement, de Brembo pour les freins et de Michelin pour les pneumatiques. L’on notera d’ailleurs que Michelin est le fournisseur exclusif de pneumatiques des Ford sportives, Focus RS mais également Ford GT, Mustang Shelby GT350 et GT350R ainsi que F-150 Raptor.
La transmission de la Ford Focus RS utilise, sur le train arrière, le différentiel Twinster de GKN qui permet de distribuer un maximum de puissance sur la roue arrière extérieure pour enrouler les courbes plus aisément.
Avec autant de technologie, la Ford Focus RS désir se démarquer des sportives des concurrents généralistes, 308 GTI, Mégane RS, pour venir chatouiller les compactes Premium que sont les Audi RS3 et Mercedes A 45 AMG. Par ailleurs, la Focus RS prolonge une longue lignée de Ford à la fois sportives et abordables (FocusRSPerformanceHistory).
Bertrand Gay

Ford Focus RS

En 2010, McLaren Automotive présente sa MP4/12C. Cette voiture entendait porter la vision de Ron Dennis, à l’époque président de McLaren Automotive : « Il s’agit de l’un de mes vieux rêves ; mettre sur le marché des voitures de sport à hautes performances qui créent de nouveaux standards » avait-il indiqué. Les sourires polis et quelque peu narquois des concurrents avaient accueillis cette annonce. Depuis, plus personne chez Ferrari ou Lamborghini n’a envie de rire. McLaren a produit sa 10.000ème voiture à la fin décembre 2016. Les 5.000 premières voitures avaient trouvé preneur en 42 mois alors que les 5.000 suivantes se sont écoulées en 22 mois. En 2016, McLaren a vendu 3.286 voitures, soit deux fois plus qu’en 2015. Avec d’un tiers de ces volumes, les Etats-Unis constituent le premier marché.

En un peu moins de sept années, McLaren a construit une gamme couvrant toutes les niches de la voiture ultra-sportive. La marque a poussé au maximum la différentiation tout en s’appuyant sur une même structure de coque en carbone et une même base moteur, un V8 suralimenté par deux turbocompresseurs. Depuis avril 2015, la gamme commence avec un coupé 540C à 165.000 euros. Avec ce modèle d’accès fort polyvalent, car proposant un excellent compromis entre le confort et le comportement routier, McLaren attire des clients de Porsche 911 Turbo.

Au lancement de la MP4/12C en 2011, les retours des premiers clients faisaient état d’une voiture un peu fade, tout est relatif.., en tout cas pas assez exubérante, ni démonstrative. En quelques semaines, McLaren fait évoluer la réponse à l’accélérateur de son moteur et modifie le son de l’échappement. McLaren a pleinement tiré parti de son expérience du sport automobile et de la réactivité qui y prévaut.

Comment McLaren a bousculé le marché de la voiture de sport - autostratinternational - Bertrand Gay - En 2010, McLaren Automotive présente sa MP4/12C. Cette voiture entendait porter la vision de Ron Dennis, à l’époque président de McLaren Automotive : « Il s’agit de l’un de mes vieux rêves ; mettre sur le marché des voitures de sport à hautes performances qui créent de nouveaux standards » avait-il indiqué. Les sourires polis et quelque peu narquois des concurrents avaient accueillis cette annonce. Depuis, plus personne chez Ferrari ou Lamborghini n’a envie de rire. McLaren a produit sa 10.000ème voiture à la fin décembre 2016. Les 5.000 premières voitures avaient trouvé preneur en 42 mois alors que les 5.000 suivantes se sont écoulées en 22 mois. En 2016, McLaren a vendu 3.286 voitures, soit deux fois plus qu’en 2015. Avec d’un tiers de ces volumes, les Etats-Unis constituent le premier marché. En un peu moins de sept années, McLaren a construit une gamme couvrant toutes les niches de la voiture ultra-sportive. La marque a poussé au maximum la différentiation tout en s’appuyant sur une même structure de coque en carbone et une même base moteur, un V8 suralimenté par deux turbocompresseurs. Depuis avril 2015, la gamme commence avec un coupé 540C à 165.000 euros. Avec ce modèle d’accès fort polyvalent, car proposant un excellent compromis entre le confort et le comportement routier, McLaren attire des clients de Porsche 911 Turbo. Au lancement de la MP4/12C en 2011, les retours des premiers clients faisaient état d’une voiture un peu fade, tout est relatif.., en tout cas pas assez exubérante, ni démonstrative. En quelques semaines, McLaren fait évoluer la réponse à l’accélérateur de son moteur et modifie le son de l’échappement. McLaren a pleinement tiré parti de son expérience du sport automobile et de la réactivité qui y prévaut. Au cours des années suivantes McLaren n’a cessé de faire évoluer sa gamme. Celle-ci est désormais organisée en trois familles : Sports Series, Super Series et Serie Ultimate. La dernière nouveauté présentée en 2016 au salon de Genève est la 570GT, une évolution basée sur la base de la 570S. Cette GT voit sa carrosserie fortement modifiée dans sa partie arrière pour recevoir un petit coffre situé au-dessus du moteur. Cet espace est accessible par un capot en verre articulé sur le côté, un clin d’œil à la Jaguar E ! Financièrement, l’exercice 2015 marque la troisième année de bénéfices pour la marque. La marge de 4,4 % devrait, grâce au doublement des ventes enregistré en 2016, se rapprocher du seuil des 10 %. Les McLaren sont désormais vendues dans 30 pays auprès de 80 revendeurs. A l’usine, les effectifs ont suivi la progression des ventes et des résultats. Début 2016, la création d’une nouvelle équipe de travail et la création de 250 nouveaux postes ont entrainé une forte hausse des effectifs, dont le nombre a atteint 1.750 personnes. La nouvelle organisation de production a permis de doubler la cadence de production. Celle-ci atteint désormais les 20 voitures par jour. Par la voix de Mike Flewitt, son Président, McLaren Automotive estime pouvoir vendre plus de 4.500 voitures par an d’ici 2020. Répondre à la demande immédiate est une chose, avoir un but en est une autre. L’an dernier, McLaren Automotive a révélé quelques détails de son plan Track22. Celui-ci comprend notamment un plan d’investissements massif, de 20 à 25 % du chiffre d’affaires pour le développement d’une nouvelle génération de voitures. Compte tenu des six ans couverts par Track22, c’est un investissement d’un milliard de livres sterling qui permettra de lancer 15 nouvelles voitures en cinq ans. Au moins la moitié de ces véhicules offriront une motorisation hybride d’ici 2022. Parmi les investissements contenus dans Track22, McLaren Automotive a récemment dévoilé les premiers détails de son nouveau McLaren Composites Technology Centre. Ce nouveau centre a pour mission de développer et de fabriquer les nouvelles générations de châssis en fibre de carbone. Ils seront produits à l’aide de technologies de pointe automatisées développées en collaboration avec le département recherche de l’Université de Sheffield. Les tout premiers châssis seront livrés au McLaren Technology Centre à partir du deuxième semestre 2017. L’autre domaine dans lequel McLaren Automotive doit progresser est celui du moteur. Le constructeur travaille sur de nouveaux principes de combustion avec Ricardo, son partenaire historique, mais également avec le groupe BMW. McLaren se donne tous les moyens pour réussir la seconde étape de son installation sur le marché de la voiture de sport. Rendez-vous en 2022. Bertrand Gay
Au cours des années suivantes McLaren n’a cessé de faire évoluer sa gamme. Celle-ci est désormais organisée en trois familles : Sports Series, Super Series et Serie Ultimate. La dernière nouveauté présentée en 2016 au salon de Genève est la 570GT, une évolution basée sur la base de la 570S. Cette GT voit sa carrosserie fortement modifiée dans sa partie arrière pour recevoir un petit coffre situé au-dessus du moteur. Cet espace est accessible par un capot en verre articulé sur le côté, un clin d’œil à la Jaguar E !

Financièrement, l’exercice 2015 marque la troisième année de bénéfices pour la marque. La marge de 4,4 % devrait, grâce au doublement des ventes enregistré en 2016, se rapprocher du seuil des 10 %. Les McLaren sont désormais vendues dans 30 pays auprès de 80 revendeurs. A l’usine, les effectifs ont suivi la progression des ventes et des résultats. Début 2016, la création d’une nouvelle équipe de travail et la création de 250 nouveaux postes ont entrainé une forte hausse des effectifs, dont le nombre a atteint 1.750 personnes.

La nouvelle organisation de production a permis de doubler la cadence de production. Celle-ci atteint désormais les 20 voitures par jour. Par la voix de Mike Flewitt, son Président, McLaren Automotive estime pouvoir vendre plus de 4.500 voitures par an d’ici 2020.

Comment McLaren a bousculé le marché de la voiture de sport - autostratinternational - Bertrand Gay - En 2010, McLaren Automotive présente sa MP4/12C. Cette voiture entendait porter la vision de Ron Dennis, à l’époque président de McLaren Automotive : « Il s’agit de l’un de mes vieux rêves ; mettre sur le marché des voitures de sport à hautes performances qui créent de nouveaux standards » avait-il indiqué. Les sourires polis et quelque peu narquois des concurrents avaient accueillis cette annonce. Depuis, plus personne chez Ferrari ou Lamborghini n’a envie de rire. McLaren a produit sa 10.000ème voiture à la fin décembre 2016. Les 5.000 premières voitures avaient trouvé preneur en 42 mois alors que les 5.000 suivantes se sont écoulées en 22 mois. En 2016, McLaren a vendu 3.286 voitures, soit deux fois plus qu’en 2015. Avec d’un tiers de ces volumes, les Etats-Unis constituent le premier marché. En un peu moins de sept années, McLaren a construit une gamme couvrant toutes les niches de la voiture ultra-sportive. La marque a poussé au maximum la différentiation tout en s’appuyant sur une même structure de coque en carbone et une même base moteur, un V8 suralimenté par deux turbocompresseurs. Depuis avril 2015, la gamme commence avec un coupé 540C à 165.000 euros. Avec ce modèle d’accès fort polyvalent, car proposant un excellent compromis entre le confort et le comportement routier, McLaren attire des clients de Porsche 911 Turbo. Au lancement de la MP4/12C en 2011, les retours des premiers clients faisaient état d’une voiture un peu fade, tout est relatif.., en tout cas pas assez exubérante, ni démonstrative. En quelques semaines, McLaren fait évoluer la réponse à l’accélérateur de son moteur et modifie le son de l’échappement. McLaren a pleinement tiré parti de son expérience du sport automobile et de la réactivité qui y prévaut. Au cours des années suivantes McLaren n’a cessé de faire évoluer sa gamme. Celle-ci est désormais organisée en trois familles : Sports Series, Super Series et Serie Ultimate. La dernière nouveauté présentée en 2016 au salon de Genève est la 570GT, une évolution basée sur la base de la 570S. Cette GT voit sa carrosserie fortement modifiée dans sa partie arrière pour recevoir un petit coffre situé au-dessus du moteur. Cet espace est accessible par un capot en verre articulé sur le côté, un clin d’œil à la Jaguar E ! Financièrement, l’exercice 2015 marque la troisième année de bénéfices pour la marque. La marge de 4,4 % devrait, grâce au doublement des ventes enregistré en 2016, se rapprocher du seuil des 10 %. Les McLaren sont désormais vendues dans 30 pays auprès de 80 revendeurs. A l’usine, les effectifs ont suivi la progression des ventes et des résultats. Début 2016, la création d’une nouvelle équipe de travail et la création de 250 nouveaux postes ont entrainé une forte hausse des effectifs, dont le nombre a atteint 1.750 personnes. La nouvelle organisation de production a permis de doubler la cadence de production. Celle-ci atteint désormais les 20 voitures par jour. Par la voix de Mike Flewitt, son Président, McLaren Automotive estime pouvoir vendre plus de 4.500 voitures par an d’ici 2020. Répondre à la demande immédiate est une chose, avoir un but en est une autre. L’an dernier, McLaren Automotive a révélé quelques détails de son plan Track22. Celui-ci comprend notamment un plan d’investissements massif, de 20 à 25 % du chiffre d’affaires pour le développement d’une nouvelle génération de voitures. Compte tenu des six ans couverts par Track22, c’est un investissement d’un milliard de livres sterling qui permettra de lancer 15 nouvelles voitures en cinq ans. Au moins la moitié de ces véhicules offriront une motorisation hybride d’ici 2022. Parmi les investissements contenus dans Track22, McLaren Automotive a récemment dévoilé les premiers détails de son nouveau McLaren Composites Technology Centre. Ce nouveau centre a pour mission de développer et de fabriquer les nouvelles générations de châssis en fibre de carbone. Ils seront produits à l’aide de technologies de pointe automatisées développées en collaboration avec le département recherche de l’Université de Sheffield. Les tout premiers châssis seront livrés au McLaren Technology Centre à partir du deuxième semestre 2017. L’autre domaine dans lequel McLaren Automotive doit progresser est celui du moteur. Le constructeur travaille sur de nouveaux principes de combustion avec Ricardo, son partenaire historique, mais également avec le groupe BMW. McLaren se donne tous les moyens pour réussir la seconde étape de son installation sur le marché de la voiture de sport. Rendez-vous en 2022. Bertrand Gay
Répondre à la demande immédiate est une chose, avoir un but en est une autre. L’an dernier, McLaren Automotive a révélé quelques détails de son plan Track22. Celui-ci comprend notamment un plan d’investissements massif, de 20 à 25 % du chiffre d’affaires pour le développement d’une nouvelle génération de voitures. Compte tenu des six ans couverts par Track22, c’est un investissement d’un milliard de livres sterling qui permettra de lancer 15 nouvelles voitures en cinq ans. Au moins la moitié de ces véhicules offriront une motorisation hybride d’ici 2022.

Parmi les investissements contenus dans Track22, McLaren Automotive a récemment dévoilé les premiers détails de son nouveau McLaren Composites Technology Centre. Ce nouveau centre a pour mission de développer et de fabriquer les nouvelles générations de châssis en fibre de carbone. Ils seront produits à l’aide de technologies de pointe automatisées développées en collaboration avec le département recherche de l’Université de Sheffield. Les tout premiers châssis seront livrés au McLaren Technology Centre à partir du deuxième semestre 2017.

L’autre domaine dans lequel McLaren Automotive doit progresser est celui du moteur. Le constructeur travaille sur de nouveaux principes de combustion avec Ricardo, son partenaire historique, mais également avec le groupe BMW.

McLaren se donne tous les moyens pour réussir la seconde étape de son installation sur le marché de la voiture de sport. Rendez-vous en 2022.

McLaren 570 S

Dans le numéro de février 1970 de l’Automobile Magazine, le mensuel détaillait les caractéristiques techniques des Porsche de compétition.
Ce sera l’année de la première victoire d’une 917 aux 24 Heures du Mans.

Porsche 917

60 ans après, l’Etoile Filante revient sur le lieu de ses exploits, le lac salé de Bonneville aux Etats-Unis où avec une vitesse de 308,9 k/h, elle obtint en août 1956, quatre records mondiaux, dont deux tiennent encore à ce jour.
En clin d’œil à l’épopée américaine de la Renault Dauphine, qui fête également ses 60 ans cette année, Renault Classic a confié à Nicolas Prost une Dauphine lors de la Speed Week qui s’est tenue à Bonneville du 13 au 19 août 2016.
A son volant, Nicolas a établi un nouveau record avec ….. la Dauphine ! Celle-ci a été mesurée à 76.541 mph, soit 123,15 km/h le 14 août 2016 au matin après vérifications techniques.

La voiture portait le Numéro 9561 et a battu le record en classe CGC (Classic Gas Coupé) correspondant aux véhicules construits entre 1928 et 1981, d’une cylindrée comprise entre 754 et 1015 cm3. Cette Dauphine était équipée d’un moteur de 956 cm3.

Bertrand Gay

Retrouvez la présentation de l’Etoile Filante le 22 juin 1956 à Montlhéry sur le site de l'INA.

Renault : l’Étoile Filante

Et si le succès de la Renault Kwid inscrivait enfin le marché indien sur la voie d’une croissance forte et régulière ? A cette question, Nissan semble apporter une réponse positive et pour en profiter, compte lancer huit nouveaux modèles sur le marché indien d’ici 2021.

Cet objectif s’inscrit dans une nouvelle stratégie censée stimuler les ventes et augmenter une part de marché qui est pour l’heure de 2 % en Inde, pays susceptible de devenir le troisième marché automobile mondial d’ici 2020.

Les modèles seront des Nissan mais aussi des Datsun, une marque relancée en Inde, alors qu’auparavant le constructeur japonais vendait pour l’essentiel des véhicules partagés avec son associé Renault. Cette étape, qui était nécessaire pour la mise ne place du réseau de distribution fait place à une vision classique dans laquelle chaque partage des éléments techniques communs mais dispose de ses propres véhicules. Ce que Christian Mardrus, président de Nissan pour l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Inde, confirme : « Il n’y aura plus de cross-badging comme nous avons pu le faire par le passé ».

Ainsi la petite voiture Redi-Go de Datsun et le mini-SUV Kwid de Renault ont plus de la moitié des pièces en commun, ce qui permet d’abaisser les coûts. « Nous voulons à l’avenir répéter l’expérience Redi-Go et Kwid », a ajouté Christian Mardrus.
Bertrand Gay

Datsun redi-Go

Lancée avec succès en Inde, où les commandes viennent de dépasser les 100.000 unités, la Kwid sera lancée prochainement dans d’autres pays qu’en Inde. « Ailleurs dans la région indienne, puis en Amérique du Sud et ensuite en Afrique et Moyen-Orient » a indiqué Carlos Ghosn, président de Renault, le 12 février 2016.

Tous les détails de la Renault Kwid - autostratinternational - Bertrand Gay - Lancée avec succès en Inde, où les commandes viennent de dépasser les 100.000 unités, la Kwid sera lancée prochainement dans d’autres pays qu’en Inde. « Ailleurs dans la région indienne, puis en Amérique du Sud et ensuite en Afrique et Moyen-Orient » a indiqué Carlos Ghosn, président de Renault, le 12 février 2016. Au dernier salon de New Delhi, Renault a complété l’offre Kwid en y ajoutant une boîte manuelle robotisée à cinq rapports et une évolution du moteur trois cylindres, désormais porté à 1.0 litre pour offrir un peu plus de dynamisme. Difficile pour la presse européenne d’avoir accès à une Renault Kwid pour en détailler toutes les innovations et les trouvailles. Vous trouverez donc ci-dessous la présentation abondamment détaillée et illustrée réalisée par l’excellent blog indien Team-Bhp.
Au dernier salon de New Delhi, Renault a complété l’offre Kwid en y ajoutant une boîte manuelle robotisée à cinq rapports et une évolution du moteur trois cylindres, désormais porté à 1.0 litre pour offrir un peu plus de dynamisme.

Difficile pour la presse européenne d’avoir accès à une Renault Kwid pour en détailler toutes les innovations et les trouvailles.

Vous trouverez donc ci-dessous la présentation abondamment détaillée et illustrée réalisée par l’excellent blog indien Team-Bhp.

Renault Kwid

Au dernier salon de l’Auto de New Delhi, Renault a dévoilé deux concept-cars sur la base de la Kwid. l’un dans un esprit off-road, la Kwid, alors que la seconde présente une vision plus sportive, c’est la Kwid Racer. Avec ses pneumatiques taille basse sur des jantes en alliage de 18 pouces, son aérodynamique affinée, ses sièges baquets et son arceau, la Kwid Racer ne demande qu’une chose : que l’asphalte d’un circuit défile sous ses roues !

Renault présente deux concepts sur la base de la Kwid - autostratinternational - Bertrand Gay - Au dernier salon de l’Auto de New Delhi, Renault a dévoilé deux concept-cars sur la base de la Kwid. l’un dans un esprit off-road, la Kwid, alors que la seconde présente une vision plus sportive, c’est la Kwid Racer. RenaultKwidRacer. Avec ses pneumatiques taille basse sur des jantes en alliage de 18 pouces, son aérodynamique affinée, ses sièges baquets et son arceau, la Kwid Racer ne demande qu’une chose : que l’asphalte d’un circuit défile sous ses roues ! Pour sa paRenaultKwidClimberrt, la Kwid Climber dispose d’une garde au sol accrue et de pneumatiques dotés de sculptures spécifiques pour lui permettre d’évoluer plus aisément sur des terrains plus accidentés. Ces deux concept-cars apportent des éléments d’images à la Renault Kwid qui a réalisé un excellent départ sur le marché indien avec plus de 100.000 commandes en six mois. Bertrand Gay

Pour sa part, la Kwid Climber dispose d’une garde au sol accrue et de pneumatiques dotés de sculptures spécifiques pour lui permettre d’évoluer plus aisément sur des terrains plus accidentés. Ces deux concept-cars apportent des éléments d’images à la Renault Kwid qui a réalisé un excellent départ sur le marché indien avec plus de 100.000 commandes en six mois.

Bertrand Gay

Kwid Racer

Dans le cadre de la production de véhicules 100 % électriques au sein de son usine de Martorell et dans l’usine de Volkswagen en Navarre, SEAT S.A. et le groupe Volkswagen ont affecté plus de 75 % des dépenses matérielles du projet Small BEV à des fournisseurs qui sont basés en Espagne. Cette mesure a pour objectif de raccourcir la chaîne d’approvisionnement au niveau mondial et d’obtenir des composants, notamment pour les véhicules électriques et les technologies innovantes, à partir de sources locales.
SEAT S.A. est à la tête du projet Small BEV pour le compte du groupe Volkswagen et sera chargée de la fabrication de voitures sur un segment qui devrait connaître une forte croissance dans les années à venir. « Il s’agit d’un moment clé pour notre secteur. Nous engageons des ressources importantes pour faire avancer la transformation de l’industrie automobile espagnole, afin qu’elle devienne un centre européen du véhicule électrique. Notre ambitieux plan d’électrification contribuera à maintenir la compétitivité du pays et à démocratiser l’accès à la mobilité durable en Europe grâce aux voitures électriques qui seront fabriquées en Espagne », a déclaré Wayne Griffiths, PDG de SEAT et de CUPRA.

L’usine de SEAT S.A. de Martorell est actuellement en pleine transformation grâce à un investissement de 3 milliards d’euros. Elle sera ainsi capable de produire des voitures électriques et deviendra l’un des centres de production de véhicules électriques du groupe Volkswagen. L’usine principale de SEAT S.A. produira des voitures 100 % électriques à partir de 2025. À commencer par la CUPRA Raval, qui sera la première citadine électrique issue de la chaîne de production de l’usine.
Lors de la réunion avec les fournisseurs, SEAT S.A. a souligné l’importance stratégique du projet Small BEV pour l’entreprise elle-même, mais aussi pour l’Espagne. L’occasion également d’insister sur la nécessité de transformer son écosystème de fournisseurs pour que le projet soit couronné de succès. SEAT S.A. a souligné l’importance de coopérer avec les fournisseurs pour garantir la qualité, respecter les délais, assurer des coûts compétitifs, accroître la transparence et anticiper les incidents potentiels afin d’assurer les livraisons.

« Dans le cadre de la transformation de notre industrie vers l’électrification, nous avons besoin d’un engagement fort de la part des fabricants et des fournisseurs pour surmonter tous les défis de cette nouvelle ère. À la tête du développement du projet Small BEV pour le Groupe Volkswagen, nous avons l’opportunité de renforcer notre écosystème de fournisseurs en Espagne et dans l’Union Européenne. Ensemble, nous passerons à la vitesse supérieure grâce à l’électrification », a déclaré Marc Riera, Vice-président Exécutif pour les Achats de SEAT S.A.
Conformément à son engagement en faveur du développement durable et à l’objectif de réduction des émissions sur l’ensemble du cycle de production, l’entreprise donnera la priorité aux fournisseurs et aux partenaires qui partagent la même volonté. Dans le cadre du projet Small BEV, SEAT S.A. a pour objectif de travailler avec plus de 85 % de fournisseurs de classe A, à savoir la meilleure note attribuée par le S-Rating (Sustainability Rating). Ce dernier évalue et encourage l’engagement des fournisseurs en matière de développement durable. Cet outil garantit l’approvisionnement auprès d’entreprises qui respectent les normes de conformité et de durabilité, qui ont été fixées par le Groupe Volkswagen pour ses partenaires commerciaux.
Afin d'accroître la résilience de la chaîne logistique et des processus de production de l'entreprise, près de 90 % des fournisseurs du projet Small BEV ont déjà été intégrés à la Control Tower. Ce système de gestion de SEAT S.A. offre des informations en temps réel sur l'emplacement des plus de 10 millions de pièces qui sont quotidiennement nécessaires à la fabrication des véhicules. Inauguré en 2019 à l'usine de Martorell, ce centre de surveillance permet à l'entreprise d'anticiper les incidents d'approvisionnement, de réduire les délais de livraison des commandes et d'optimiser les itinéraires de transport des matériaux. Il contribue ainsi à la réduction des émissions de CO2.

Enfin, SEAT S.A. investira 300 millions d'euros supplémentaires pour construire une usine d'assemblage de systèmes de batteries à Martorell. Cette usine sera destinée à l'assemblage des cellules que PowerCo fabriquera dans la Gigafactory de Sagonte à Valence. Elle assurera plus de 400 emplois directs et plus de 100 emplois indirects.

Bertrand Gayélectriques au sein de son usine de Martorell et
dans l’usine de Volkswagen en Navarre, SEAT S.A. et le
groupe Volkswagen ont affecté plus de 75 % des
dépenses matérielles du projet Small BEV à des
fournisseurs qui sont basés en Espagne. Cette mesure
a pour objectif de raccourcir la chaîne d’approvisionnement au niveau mondial et d’obtenir des
composants, notamment pour les véhicules électriques
et les technologies innovantes, à partir de sources
locales

CUPRA UrbanRebel

Twingo

Jaguar Land Rover (JLR) va investir des millions de livres dans la production de véhicules électriques en Grande-Bretagne, un coup de pouce bienvenu et pour le gouvernement britannique et pour un secteur touché par le repli des ventes de véhicules diesel et les incertitudes autour du Brexit.

Le premier constructeur automobile britannique, qui a fabriqué 30 % des 1,5 million de véhicules produits en Grande-Bretagne l’an dernier, va construire des modèles électrifiés, notamment la future génération de sa berline de luxe XJ, dans son usine de Castle Bromwich, dans le centre de l’Angleterre. « L’avenir de la mobilité est électrique et, en tant que société britannique visionnaire, nous sommes déterminés à produire notre prochaine génération de véhicules zéro émission au Royaume-Uni » a déclaré Ralf Speth, directeur général de JLR.

Le constructeur a cependant mis en garde contre l’éventualité d’un Brexit sans accord et souligné l’importance d’un commerce sans entrave avec l’Union européenne, faisant ainsi écho aux avertissements du secteur sur le risque que font peser des barrières douanières et un excès de bureaucratie sur la production.
Pour améliorer la productivité du site, le constructeur a signé un accord avec les ouvriers de Castle Bromwich faisant passer la semaine de travail de cinq à quatre jours avec le même nombre d’heures.
Trois des quatre usines automobiles de JLR en Europe sont situées en Grande-Bretagne, ce qui lui donne peu de marges de manoeuvre ailleurs. La quatrième usine est en Slovaquie et a été inaugurée seulement l’an dernier. « Nous réalisons cet investissement car l’incertitude persistante autour du Brexit ne nous laisse pas le choix, nous avons dû prendre une décision pour nos employés et notre activité » a déclaré JLR.
En janvier, Jaguar Land Rover avait annoncé qu’il allait réduire d’environ 10 % ses effectifs, soit 4.500 postes, essentiellement en Grande-Bretagne, pour faire face au ralentissement du marché en Chine et au plongeon de la demande pour les véhicules diesel.
Bertrand Gay

Jaguar Land Rover

Pour sa nouvelle Focus RS, Ford a réuni les meilleurs ingrédients pour être digne du prestigieux badge RS.
Il s’agit de GKN pour la transmission à quatre roues motrices et répartition vectorielle de couple, de Tenneco pour son amortissement à deux lois de fonctionnement, de Brembo pour les freins et de Michelin pour les pneumatiques. L’on notera d’ailleurs que Michelin est le fournisseur exclusif de pneumatiques des Ford sportives, Focus RS mais également Ford GT, Mustang Shelby GT350 et GT350R ainsi que F-150 Raptor.
La transmission de la Ford Focus RS utilise, sur le train arrière, le différentiel Twinster de GKN qui permet de distribuer un maximum de puissance sur la roue arrière extérieure pour enrouler les courbes plus aisément.
Avec autant de technologie, la Ford Focus RS désir se démarquer des sportives des concurrents généralistes, 308 GTI, Mégane RS, pour venir chatouiller les compactes Premium que sont les Audi RS3 et Mercedes A 45 AMG. Par ailleurs, la Focus RS prolonge une longue lignée de Ford à la fois sportives et abordables (FocusRSPerformanceHistory).
Bertrand Gay

Ford Focus RS

En 2010, McLaren Automotive présente sa MP4/12C. Cette voiture entendait porter la vision de Ron Dennis, à l’époque président de McLaren Automotive : « Il s’agit de l’un de mes vieux rêves ; mettre sur le marché des voitures de sport à hautes performances qui créent de nouveaux standards » avait-il indiqué. Les sourires polis et quelque peu narquois des concurrents avaient accueillis cette annonce. Depuis, plus personne chez Ferrari ou Lamborghini n’a envie de rire. McLaren a produit sa 10.000ème voiture à la fin décembre 2016. Les 5.000 premières voitures avaient trouvé preneur en 42 mois alors que les 5.000 suivantes se sont écoulées en 22 mois. En 2016, McLaren a vendu 3.286 voitures, soit deux fois plus qu’en 2015. Avec d’un tiers de ces volumes, les Etats-Unis constituent le premier marché.

En un peu moins de sept années, McLaren a construit une gamme couvrant toutes les niches de la voiture ultra-sportive. La marque a poussé au maximum la différentiation tout en s’appuyant sur une même structure de coque en carbone et une même base moteur, un V8 suralimenté par deux turbocompresseurs. Depuis avril 2015, la gamme commence avec un coupé 540C à 165.000 euros. Avec ce modèle d’accès fort polyvalent, car proposant un excellent compromis entre le confort et le comportement routier, McLaren attire des clients de Porsche 911 Turbo.

Au lancement de la MP4/12C en 2011, les retours des premiers clients faisaient état d’une voiture un peu fade, tout est relatif.., en tout cas pas assez exubérante, ni démonstrative. En quelques semaines, McLaren fait évoluer la réponse à l’accélérateur de son moteur et modifie le son de l’échappement. McLaren a pleinement tiré parti de son expérience du sport automobile et de la réactivité qui y prévaut.

Comment McLaren a bousculé le marché de la voiture de sport - autostratinternational - Bertrand Gay - En 2010, McLaren Automotive présente sa MP4/12C. Cette voiture entendait porter la vision de Ron Dennis, à l’époque président de McLaren Automotive : « Il s’agit de l’un de mes vieux rêves ; mettre sur le marché des voitures de sport à hautes performances qui créent de nouveaux standards » avait-il indiqué. Les sourires polis et quelque peu narquois des concurrents avaient accueillis cette annonce. Depuis, plus personne chez Ferrari ou Lamborghini n’a envie de rire. McLaren a produit sa 10.000ème voiture à la fin décembre 2016. Les 5.000 premières voitures avaient trouvé preneur en 42 mois alors que les 5.000 suivantes se sont écoulées en 22 mois. En 2016, McLaren a vendu 3.286 voitures, soit deux fois plus qu’en 2015. Avec d’un tiers de ces volumes, les Etats-Unis constituent le premier marché. En un peu moins de sept années, McLaren a construit une gamme couvrant toutes les niches de la voiture ultra-sportive. La marque a poussé au maximum la différentiation tout en s’appuyant sur une même structure de coque en carbone et une même base moteur, un V8 suralimenté par deux turbocompresseurs. Depuis avril 2015, la gamme commence avec un coupé 540C à 165.000 euros. Avec ce modèle d’accès fort polyvalent, car proposant un excellent compromis entre le confort et le comportement routier, McLaren attire des clients de Porsche 911 Turbo. Au lancement de la MP4/12C en 2011, les retours des premiers clients faisaient état d’une voiture un peu fade, tout est relatif.., en tout cas pas assez exubérante, ni démonstrative. En quelques semaines, McLaren fait évoluer la réponse à l’accélérateur de son moteur et modifie le son de l’échappement. McLaren a pleinement tiré parti de son expérience du sport automobile et de la réactivité qui y prévaut. Au cours des années suivantes McLaren n’a cessé de faire évoluer sa gamme. Celle-ci est désormais organisée en trois familles : Sports Series, Super Series et Serie Ultimate. La dernière nouveauté présentée en 2016 au salon de Genève est la 570GT, une évolution basée sur la base de la 570S. Cette GT voit sa carrosserie fortement modifiée dans sa partie arrière pour recevoir un petit coffre situé au-dessus du moteur. Cet espace est accessible par un capot en verre articulé sur le côté, un clin d’œil à la Jaguar E ! Financièrement, l’exercice 2015 marque la troisième année de bénéfices pour la marque. La marge de 4,4 % devrait, grâce au doublement des ventes enregistré en 2016, se rapprocher du seuil des 10 %. Les McLaren sont désormais vendues dans 30 pays auprès de 80 revendeurs. A l’usine, les effectifs ont suivi la progression des ventes et des résultats. Début 2016, la création d’une nouvelle équipe de travail et la création de 250 nouveaux postes ont entrainé une forte hausse des effectifs, dont le nombre a atteint 1.750 personnes. La nouvelle organisation de production a permis de doubler la cadence de production. Celle-ci atteint désormais les 20 voitures par jour. Par la voix de Mike Flewitt, son Président, McLaren Automotive estime pouvoir vendre plus de 4.500 voitures par an d’ici 2020. Répondre à la demande immédiate est une chose, avoir un but en est une autre. L’an dernier, McLaren Automotive a révélé quelques détails de son plan Track22. Celui-ci comprend notamment un plan d’investissements massif, de 20 à 25 % du chiffre d’affaires pour le développement d’une nouvelle génération de voitures. Compte tenu des six ans couverts par Track22, c’est un investissement d’un milliard de livres sterling qui permettra de lancer 15 nouvelles voitures en cinq ans. Au moins la moitié de ces véhicules offriront une motorisation hybride d’ici 2022. Parmi les investissements contenus dans Track22, McLaren Automotive a récemment dévoilé les premiers détails de son nouveau McLaren Composites Technology Centre. Ce nouveau centre a pour mission de développer et de fabriquer les nouvelles générations de châssis en fibre de carbone. Ils seront produits à l’aide de technologies de pointe automatisées développées en collaboration avec le département recherche de l’Université de Sheffield. Les tout premiers châssis seront livrés au McLaren Technology Centre à partir du deuxième semestre 2017. L’autre domaine dans lequel McLaren Automotive doit progresser est celui du moteur. Le constructeur travaille sur de nouveaux principes de combustion avec Ricardo, son partenaire historique, mais également avec le groupe BMW. McLaren se donne tous les moyens pour réussir la seconde étape de son installation sur le marché de la voiture de sport. Rendez-vous en 2022. Bertrand Gay
Au cours des années suivantes McLaren n’a cessé de faire évoluer sa gamme. Celle-ci est désormais organisée en trois familles : Sports Series, Super Series et Serie Ultimate. La dernière nouveauté présentée en 2016 au salon de Genève est la 570GT, une évolution basée sur la base de la 570S. Cette GT voit sa carrosserie fortement modifiée dans sa partie arrière pour recevoir un petit coffre situé au-dessus du moteur. Cet espace est accessible par un capot en verre articulé sur le côté, un clin d’œil à la Jaguar E !

Financièrement, l’exercice 2015 marque la troisième année de bénéfices pour la marque. La marge de 4,4 % devrait, grâce au doublement des ventes enregistré en 2016, se rapprocher du seuil des 10 %. Les McLaren sont désormais vendues dans 30 pays auprès de 80 revendeurs. A l’usine, les effectifs ont suivi la progression des ventes et des résultats. Début 2016, la création d’une nouvelle équipe de travail et la création de 250 nouveaux postes ont entrainé une forte hausse des effectifs, dont le nombre a atteint 1.750 personnes.

La nouvelle organisation de production a permis de doubler la cadence de production. Celle-ci atteint désormais les 20 voitures par jour. Par la voix de Mike Flewitt, son Président, McLaren Automotive estime pouvoir vendre plus de 4.500 voitures par an d’ici 2020.

Comment McLaren a bousculé le marché de la voiture de sport - autostratinternational - Bertrand Gay - En 2010, McLaren Automotive présente sa MP4/12C. Cette voiture entendait porter la vision de Ron Dennis, à l’époque président de McLaren Automotive : « Il s’agit de l’un de mes vieux rêves ; mettre sur le marché des voitures de sport à hautes performances qui créent de nouveaux standards » avait-il indiqué. Les sourires polis et quelque peu narquois des concurrents avaient accueillis cette annonce. Depuis, plus personne chez Ferrari ou Lamborghini n’a envie de rire. McLaren a produit sa 10.000ème voiture à la fin décembre 2016. Les 5.000 premières voitures avaient trouvé preneur en 42 mois alors que les 5.000 suivantes se sont écoulées en 22 mois. En 2016, McLaren a vendu 3.286 voitures, soit deux fois plus qu’en 2015. Avec d’un tiers de ces volumes, les Etats-Unis constituent le premier marché. En un peu moins de sept années, McLaren a construit une gamme couvrant toutes les niches de la voiture ultra-sportive. La marque a poussé au maximum la différentiation tout en s’appuyant sur une même structure de coque en carbone et une même base moteur, un V8 suralimenté par deux turbocompresseurs. Depuis avril 2015, la gamme commence avec un coupé 540C à 165.000 euros. Avec ce modèle d’accès fort polyvalent, car proposant un excellent compromis entre le confort et le comportement routier, McLaren attire des clients de Porsche 911 Turbo. Au lancement de la MP4/12C en 2011, les retours des premiers clients faisaient état d’une voiture un peu fade, tout est relatif.., en tout cas pas assez exubérante, ni démonstrative. En quelques semaines, McLaren fait évoluer la réponse à l’accélérateur de son moteur et modifie le son de l’échappement. McLaren a pleinement tiré parti de son expérience du sport automobile et de la réactivité qui y prévaut. Au cours des années suivantes McLaren n’a cessé de faire évoluer sa gamme. Celle-ci est désormais organisée en trois familles : Sports Series, Super Series et Serie Ultimate. La dernière nouveauté présentée en 2016 au salon de Genève est la 570GT, une évolution basée sur la base de la 570S. Cette GT voit sa carrosserie fortement modifiée dans sa partie arrière pour recevoir un petit coffre situé au-dessus du moteur. Cet espace est accessible par un capot en verre articulé sur le côté, un clin d’œil à la Jaguar E ! Financièrement, l’exercice 2015 marque la troisième année de bénéfices pour la marque. La marge de 4,4 % devrait, grâce au doublement des ventes enregistré en 2016, se rapprocher du seuil des 10 %. Les McLaren sont désormais vendues dans 30 pays auprès de 80 revendeurs. A l’usine, les effectifs ont suivi la progression des ventes et des résultats. Début 2016, la création d’une nouvelle équipe de travail et la création de 250 nouveaux postes ont entrainé une forte hausse des effectifs, dont le nombre a atteint 1.750 personnes. La nouvelle organisation de production a permis de doubler la cadence de production. Celle-ci atteint désormais les 20 voitures par jour. Par la voix de Mike Flewitt, son Président, McLaren Automotive estime pouvoir vendre plus de 4.500 voitures par an d’ici 2020. Répondre à la demande immédiate est une chose, avoir un but en est une autre. L’an dernier, McLaren Automotive a révélé quelques détails de son plan Track22. Celui-ci comprend notamment un plan d’investissements massif, de 20 à 25 % du chiffre d’affaires pour le développement d’une nouvelle génération de voitures. Compte tenu des six ans couverts par Track22, c’est un investissement d’un milliard de livres sterling qui permettra de lancer 15 nouvelles voitures en cinq ans. Au moins la moitié de ces véhicules offriront une motorisation hybride d’ici 2022. Parmi les investissements contenus dans Track22, McLaren Automotive a récemment dévoilé les premiers détails de son nouveau McLaren Composites Technology Centre. Ce nouveau centre a pour mission de développer et de fabriquer les nouvelles générations de châssis en fibre de carbone. Ils seront produits à l’aide de technologies de pointe automatisées développées en collaboration avec le département recherche de l’Université de Sheffield. Les tout premiers châssis seront livrés au McLaren Technology Centre à partir du deuxième semestre 2017. L’autre domaine dans lequel McLaren Automotive doit progresser est celui du moteur. Le constructeur travaille sur de nouveaux principes de combustion avec Ricardo, son partenaire historique, mais également avec le groupe BMW. McLaren se donne tous les moyens pour réussir la seconde étape de son installation sur le marché de la voiture de sport. Rendez-vous en 2022. Bertrand Gay
Répondre à la demande immédiate est une chose, avoir un but en est une autre. L’an dernier, McLaren Automotive a révélé quelques détails de son plan Track22. Celui-ci comprend notamment un plan d’investissements massif, de 20 à 25 % du chiffre d’affaires pour le développement d’une nouvelle génération de voitures. Compte tenu des six ans couverts par Track22, c’est un investissement d’un milliard de livres sterling qui permettra de lancer 15 nouvelles voitures en cinq ans. Au moins la moitié de ces véhicules offriront une motorisation hybride d’ici 2022.

Parmi les investissements contenus dans Track22, McLaren Automotive a récemment dévoilé les premiers détails de son nouveau McLaren Composites Technology Centre. Ce nouveau centre a pour mission de développer et de fabriquer les nouvelles générations de châssis en fibre de carbone. Ils seront produits à l’aide de technologies de pointe automatisées développées en collaboration avec le département recherche de l’Université de Sheffield. Les tout premiers châssis seront livrés au McLaren Technology Centre à partir du deuxième semestre 2017.

L’autre domaine dans lequel McLaren Automotive doit progresser est celui du moteur. Le constructeur travaille sur de nouveaux principes de combustion avec Ricardo, son partenaire historique, mais également avec le groupe BMW.

McLaren se donne tous les moyens pour réussir la seconde étape de son installation sur le marché de la voiture de sport. Rendez-vous en 2022.

McLaren 570 S

Dans le numéro de février 1970 de l’Automobile Magazine, le mensuel détaillait les caractéristiques techniques des Porsche de compétition.
Ce sera l’année de la première victoire d’une 917 aux 24 Heures du Mans.

Porsche 917

60 ans après, l’Etoile Filante revient sur le lieu de ses exploits, le lac salé de Bonneville aux Etats-Unis où avec une vitesse de 308,9 k/h, elle obtint en août 1956, quatre records mondiaux, dont deux tiennent encore à ce jour.
En clin d’œil à l’épopée américaine de la Renault Dauphine, qui fête également ses 60 ans cette année, Renault Classic a confié à Nicolas Prost une Dauphine lors de la Speed Week qui s’est tenue à Bonneville du 13 au 19 août 2016.
A son volant, Nicolas a établi un nouveau record avec ….. la Dauphine ! Celle-ci a été mesurée à 76.541 mph, soit 123,15 km/h le 14 août 2016 au matin après vérifications techniques.

La voiture portait le Numéro 9561 et a battu le record en classe CGC (Classic Gas Coupé) correspondant aux véhicules construits entre 1928 et 1981, d’une cylindrée comprise entre 754 et 1015 cm3. Cette Dauphine était équipée d’un moteur de 956 cm3.

Bertrand Gay

Retrouvez la présentation de l’Etoile Filante le 22 juin 1956 à Montlhéry sur le site de l'INA.

Renault : l’Étoile Filante

Et si le succès de la Renault Kwid inscrivait enfin le marché indien sur la voie d’une croissance forte et régulière ? A cette question, Nissan semble apporter une réponse positive et pour en profiter, compte lancer huit nouveaux modèles sur le marché indien d’ici 2021.

Cet objectif s’inscrit dans une nouvelle stratégie censée stimuler les ventes et augmenter une part de marché qui est pour l’heure de 2 % en Inde, pays susceptible de devenir le troisième marché automobile mondial d’ici 2020.

Les modèles seront des Nissan mais aussi des Datsun, une marque relancée en Inde, alors qu’auparavant le constructeur japonais vendait pour l’essentiel des véhicules partagés avec son associé Renault. Cette étape, qui était nécessaire pour la mise ne place du réseau de distribution fait place à une vision classique dans laquelle chaque partage des éléments techniques communs mais dispose de ses propres véhicules. Ce que Christian Mardrus, président de Nissan pour l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Inde, confirme : « Il n’y aura plus de cross-badging comme nous avons pu le faire par le passé ».

Ainsi la petite voiture Redi-Go de Datsun et le mini-SUV Kwid de Renault ont plus de la moitié des pièces en commun, ce qui permet d’abaisser les coûts. « Nous voulons à l’avenir répéter l’expérience Redi-Go et Kwid », a ajouté Christian Mardrus.
Bertrand Gay

Datsun redi-Go

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Pourquoi Volkswagen veut disposer de sa propre IA

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Bosch et FEST proposent une solution d'électrolyse d'hydrogène

14 avr.

Lors de la dernière Foire de Hanovre, Bosch et son partenaire FEST ont présenté deux stacks d'électrolyse. Le groupe de Stuttgart rappelle que, dans l’industrie chimique, le transport, la sidérurgie ou l’énergie, l’hydrogène offre un immense potentiel de décarbonation, notamment s’il est produit à partir d’énergies renouvelables. Avec une capacité mondiale attendue de 100 à 170 gigawatts d’ici 2030, l’électrolyse est un domaine de croissance stratégique pour Bosch, malgré le ralentissement de la montée en puissance de l’économie de l’hydrogène. Pour marquer son entrée sur ce marché, le Groupe présente la technologie pour les électrolyseurs à la Foire de Hanovre. Bosch y dévoile deux stacks d’électrolyse Hybrion PEM (proton exchange membrane) comme solution de conteneur modulaire intégrée dans un système d’électrolyse. Ces stacks sont au coeur de l’électrolyseur. Le système complet, d’une puissance de 2,5 mégawatts, est fourni par FEST, une entreprise basée à Goslar, en Allemagne. « P

Lors de la dernière Foire de Hanovre, Bosch et son partenaire FEST ont présenté deux stacks d'électrolyse. Le groupe de Stuttgart rappelle que, dans l’industrie chimique, le transport, la sidérurgie ou l’énergie, l’hydrogène offre un immense potentiel de décarbonation, notamment s’il est produit à partir d’énergies renouvelables. Avec une capacité mondiale attendue de 100 à 170 gigawatts d’ici 2030, l’électrolyse est un domaine de croissance stratégique pour Bosch, malgré le ralentissement de la montée en puissance de l’économie de l’hydrogène. Pour marquer son entrée sur ce marché, le Groupe présente la technologie pour les électrolyseurs à la Foire de Hanovre. Bosch y dévoile deux stacks d’électrolyse Hybrion PEM (proton exchange membrane) comme solution de conteneur modulaire intégrée dans un système d’électrolyse. Ces stacks sont au coeur de l’électrolyseur. Le système complet, d’une puissance de 2,5 mégawatts, est fourni par FEST, une entreprise basée à Goslar, en Allemagne. « P

Véhicules

Petit à petit, la Neue Klasse se dévoile chez BMW

25 mars

BMW prépare le lancement de sa famille de véhicules de la Neue Klasse. Depuis le concept BMW Vision présenté au salon de Munich 2021, la marque distille au compte-goutte les informations relatives à ces nouveaux véhicules dont les avants-projets remontent à 2020. Plus de quatre années de développement ne font pas peur au groupe BMW quoi annonce une Neue Klasse suffisamment modulaire pour donner naissance à six nouveaux modèles en deux ans. Ces modèles seront produits dans l’usine de Debrecen en Hongrie et sur le site historique de Munich qui fait actuellement l’objet d’une transformation importante. Nous reviendrons prochainement sur les détails des mutations industrielles en cours tant à Munich qu’à Debrecen. Depuis la fin 2024, ce site hongrois produit des iX3 de pré-serie à des fins de tests et de validation des process industriels. Par ailleurs, les batteries, dotées de cellules cylindriques, seront assemblées sur le site de Landshut.

BMW prépare le lancement de sa famille de véhicules de la Neue Klasse. Depuis le concept BMW Vision présenté au salon de Munich 2021, la marque distille au compte-goutte les informations relatives à ces nouveaux véhicules dont les avants-projets remontent à 2020. Plus de quatre années de développement ne font pas peur au groupe BMW quoi annonce une Neue Klasse suffisamment modulaire pour donner naissance à six nouveaux modèles en deux ans. Ces modèles seront produits dans l’usine de Debrecen en Hongrie et sur le site historique de Munich qui fait actuellement l’objet d’une transformation importante. Nous reviendrons prochainement sur les détails des mutations industrielles en cours tant à Munich qu’à Debrecen. Depuis la fin 2024, ce site hongrois produit des iX3 de pré-serie à des fins de tests et de validation des process industriels. Par ailleurs, les batteries, dotées de cellules cylindriques, seront assemblées sur le site de Landshut.

Comment JLR utilise la 5G d’Ericsson pour accroître l’efficacité de l’usine de Solihull

12 févr.

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En bref

Toyota dévoile sa feuille de route en matière de motorisations

29 janv.

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Un dialogue entre l’UE et l’industrie automobile européenne, mais pour quoi faire ?

29 janv.

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Motorisations

Bosch et FEST proposent une solution d'électrolyse d'hydrogène

14 avr.

Lors de la dernière Foire de Hanovre, Bosch et son partenaire FEST ont présenté deux stacks d'électrolyse. Le groupe de Stuttgart rappelle que, dans l’industrie chimique, le transport, la sidérurgie ou l’énergie, l’hydrogène offre un immense potentiel de décarbonation, notamment s’il est produit à partir d’énergies renouvelables. Avec une capacité mondiale attendue de 100 à 170 gigawatts d’ici 2030, l’électrolyse est un domaine de croissance stratégique pour Bosch, malgré le ralentissement de la montée en puissance de l’économie de l’hydrogène. Pour marquer son entrée sur ce marché, le Groupe présente la technologie pour les électrolyseurs à la Foire de Hanovre. Bosch y dévoile deux stacks d’électrolyse Hybrion PEM (proton exchange membrane) comme solution de conteneur modulaire intégrée dans un système d’électrolyse. Ces stacks sont au coeur de l’électrolyseur. Le système complet, d’une puissance de 2,5 mégawatts, est fourni par FEST, une entreprise basée à Goslar, en Allemagne. « P

Lors de la dernière Foire de Hanovre, Bosch et son partenaire FEST ont présenté deux stacks d'électrolyse. Le groupe de Stuttgart rappelle que, dans l’industrie chimique, le transport, la sidérurgie ou l’énergie, l’hydrogène offre un immense potentiel de décarbonation, notamment s’il est produit à partir d’énergies renouvelables. Avec une capacité mondiale attendue de 100 à 170 gigawatts d’ici 2030, l’électrolyse est un domaine de croissance stratégique pour Bosch, malgré le ralentissement de la montée en puissance de l’économie de l’hydrogène. Pour marquer son entrée sur ce marché, le Groupe présente la technologie pour les électrolyseurs à la Foire de Hanovre. Bosch y dévoile deux stacks d’électrolyse Hybrion PEM (proton exchange membrane) comme solution de conteneur modulaire intégrée dans un système d’électrolyse. Ces stacks sont au coeur de l’électrolyseur. Le système complet, d’une puissance de 2,5 mégawatts, est fourni par FEST, une entreprise basée à Goslar, en Allemagne. « P

Hydrogène : quelle stratégie pour le groupe Hyundai

14 avr.

Tout récemment, Hyundai Motor a actualisé sa feuille de route hydrogène. Tenant compte du démarrage plus complexe qu'initialement estimé du marché, le groupe élargit sa vision en se positionnant comme le promoteur d’un écosystème hydrogène complet. Le groupe Hyundai entend proposer un grand nombre de solutions permettant d'accélérer la transition vers une société alimentée par l'hydrogène. En pratique, Hyundai Motor projette d'élargir sa marque de piles à combustible à hydrogène HTWO vers le projet d'établissement de la chaîne de valeur de l'hydrogène du groupe pour fournir des solutions réseaux HTWO allant de la production à l'utilisation en passant par le stockage et le transport. HTWO n’est plus uniquement un fournisseur de piles à combustible pour le groupe Hyundai et des entreprises extérieures. Un écosystème complet HTWO est désormais la marque commerciale de la chaîne de valeur de l’hydrogène de Hyundai Motor Group. HTWO englobe es activités et les filiales du groupe, per

Tout récemment, Hyundai Motor a actualisé sa feuille de route hydrogène. Tenant compte du démarrage plus complexe qu'initialement estimé du marché, le groupe élargit sa vision en se positionnant comme le promoteur d’un écosystème hydrogène complet. Le groupe Hyundai entend proposer un grand nombre de solutions permettant d'accélérer la transition vers une société alimentée par l'hydrogène. En pratique, Hyundai Motor projette d'élargir sa marque de piles à combustible à hydrogène HTWO vers le projet d'établissement de la chaîne de valeur de l'hydrogène du groupe pour fournir des solutions réseaux HTWO allant de la production à l'utilisation en passant par le stockage et le transport. HTWO n’est plus uniquement un fournisseur de piles à combustible pour le groupe Hyundai et des entreprises extérieures. Un écosystème complet HTWO est désormais la marque commerciale de la chaîne de valeur de l’hydrogène de Hyundai Motor Group. HTWO englobe es activités et les filiales du groupe, per

Stratégies

Bosch et FEST proposent une solution d'électrolyse d'hydrogène

14 avr.

Lors de la dernière Foire de Hanovre, Bosch et son partenaire FEST ont présenté deux stacks d'électrolyse. Le groupe de Stuttgart rappelle que, dans l’industrie chimique, le transport, la sidérurgie ou l’énergie, l’hydrogène offre un immense potentiel de décarbonation, notamment s’il est produit à partir d’énergies renouvelables. Avec une capacité mondiale attendue de 100 à 170 gigawatts d’ici 2030, l’électrolyse est un domaine de croissance stratégique pour Bosch, malgré le ralentissement de la montée en puissance de l’économie de l’hydrogène. Pour marquer son entrée sur ce marché, le Groupe présente la technologie pour les électrolyseurs à la Foire de Hanovre. Bosch y dévoile deux stacks d’électrolyse Hybrion PEM (proton exchange membrane) comme solution de conteneur modulaire intégrée dans un système d’électrolyse. Ces stacks sont au coeur de l’électrolyseur. Le système complet, d’une puissance de 2,5 mégawatts, est fourni par FEST, une entreprise basée à Goslar, en Allemagne. « P

Lors de la dernière Foire de Hanovre, Bosch et son partenaire FEST ont présenté deux stacks d'électrolyse. Le groupe de Stuttgart rappelle que, dans l’industrie chimique, le transport, la sidérurgie ou l’énergie, l’hydrogène offre un immense potentiel de décarbonation, notamment s’il est produit à partir d’énergies renouvelables. Avec une capacité mondiale attendue de 100 à 170 gigawatts d’ici 2030, l’électrolyse est un domaine de croissance stratégique pour Bosch, malgré le ralentissement de la montée en puissance de l’économie de l’hydrogène. Pour marquer son entrée sur ce marché, le Groupe présente la technologie pour les électrolyseurs à la Foire de Hanovre. Bosch y dévoile deux stacks d’électrolyse Hybrion PEM (proton exchange membrane) comme solution de conteneur modulaire intégrée dans un système d’électrolyse. Ces stacks sont au coeur de l’électrolyseur. Le système complet, d’une puissance de 2,5 mégawatts, est fourni par FEST, une entreprise basée à Goslar, en Allemagne. « P

Hydrogène : quelle stratégie pour le groupe Hyundai

14 avr.

Tout récemment, Hyundai Motor a actualisé sa feuille de route hydrogène. Tenant compte du démarrage plus complexe qu'initialement estimé du marché, le groupe élargit sa vision en se positionnant comme le promoteur d’un écosystème hydrogène complet. Le groupe Hyundai entend proposer un grand nombre de solutions permettant d'accélérer la transition vers une société alimentée par l'hydrogène. En pratique, Hyundai Motor projette d'élargir sa marque de piles à combustible à hydrogène HTWO vers le projet d'établissement de la chaîne de valeur de l'hydrogène du groupe pour fournir des solutions réseaux HTWO allant de la production à l'utilisation en passant par le stockage et le transport. HTWO n’est plus uniquement un fournisseur de piles à combustible pour le groupe Hyundai et des entreprises extérieures. Un écosystème complet HTWO est désormais la marque commerciale de la chaîne de valeur de l’hydrogène de Hyundai Motor Group. HTWO englobe es activités et les filiales du groupe, per

Tout récemment, Hyundai Motor a actualisé sa feuille de route hydrogène. Tenant compte du démarrage plus complexe qu'initialement estimé du marché, le groupe élargit sa vision en se positionnant comme le promoteur d’un écosystème hydrogène complet. Le groupe Hyundai entend proposer un grand nombre de solutions permettant d'accélérer la transition vers une société alimentée par l'hydrogène. En pratique, Hyundai Motor projette d'élargir sa marque de piles à combustible à hydrogène HTWO vers le projet d'établissement de la chaîne de valeur de l'hydrogène du groupe pour fournir des solutions réseaux HTWO allant de la production à l'utilisation en passant par le stockage et le transport. HTWO n’est plus uniquement un fournisseur de piles à combustible pour le groupe Hyundai et des entreprises extérieures. Un écosystème complet HTWO est désormais la marque commerciale de la chaîne de valeur de l’hydrogène de Hyundai Motor Group. HTWO englobe es activités et les filiales du groupe, per

Aides à la conduite

Trois pneumatiques Michelin exclusifs pour l’Alpine A290

15 avr.

Initiée en 2012, la collaboration entre Alpine et Michelin est née avec les prémices du développement de la nouvelle Alpine A110. La marque dieppoise fait à nouveau le choix du leader mondial des pneumatiques comme partenaire. L’A290, la compacte électrique du segment B reposant sur la base de la Renault 5 doit se démarquer de celle-ci. Le typage sportif de l’Alpine passe par des réglages spécifiques de liaisons au sol et certains équipements dont les pneumatiques. Il s’agit de concilier agilité, plaisir de conduite, confort et basse résistance au roulement Pour répondre à ce cahier des charges, Michelin a développé trois pneumatiques d’un diamètre de 19 pouces, aux marquages spécifiques ; Le Pilot Sport EV est un pneumatique été sportif offrant également une bonne efficacité énergétique. Le Pilot Sport 5S est un pneu été plus sportif afin d’exploiter tout le potentiel de performance de l’A290 sur le sec et le mouillé. Le Pilot Alpin 5 est un pneu hiver offrant un haut niv

Initiée en 2012, la collaboration entre Alpine et Michelin est née avec les prémices du développement de la nouvelle Alpine A110. La marque dieppoise fait à nouveau le choix du leader mondial des pneumatiques comme partenaire. L’A290, la compacte électrique du segment B reposant sur la base de la Renault 5 doit se démarquer de celle-ci. Le typage sportif de l’Alpine passe par des réglages spécifiques de liaisons au sol et certains équipements dont les pneumatiques. Il s’agit de concilier agilité, plaisir de conduite, confort et basse résistance au roulement Pour répondre à ce cahier des charges, Michelin a développé trois pneumatiques d’un diamètre de 19 pouces, aux marquages spécifiques ; Le Pilot Sport EV est un pneumatique été sportif offrant également une bonne efficacité énergétique. Le Pilot Sport 5S est un pneu été plus sportif afin d’exploiter tout le potentiel de performance de l’A290 sur le sec et le mouillé. Le Pilot Alpin 5 est un pneu hiver offrant un haut niv

Quatre technologies de Forvia récompensées au CES 2024 Innovation Awards

11 févr.

Quatre technologies de Forvia récompensées au CES 2024 Innovation Awards

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